Lien de rappel : Bouture en pot de Saule (le 15/09/12).

Regard intermédiaire du 07/10/12.

Certes, nos trois boutures ont leur feuillage sec : ce qui n'est pas pour ma part, un signe trop négatif étant donné la saison, l'humidité ambiante depuis quelques jours. Le principal étant d'attendre des racines !...

Nous porterons un point d'honneur à surveiller l'état des boutons sur chaque branchage. C'est de leur part que nous pourrons dans un premier temps deviner la santé de nos boutures.

Aucune conclusion ne sera donnée ce jour.

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Dimanche 18/11/12.

Constat quasiment de suivi au précédent !

Les plants sont secs, les boutons tant convoités en de 07 octobre sont noirs !

Comparativement à l'arbre mère : il n'y a pas photo !

Sur le Plant mère : les tiges sont souples, les feuilles jaunissantes et le boutons également souples.

Chez nos boutures, les tiges sont sèches, les feuilles également et du point de vue des boutons : désolé !...

On aurait pu penser que la saison pouvait jouer sur l'état de nos Plants, mais ce n'est pas le cas !...

Une tentative à l'hormone échouée.

Fin de l'expérience relative au Saule.

Pour notre savoir : si nous devons tenter l'année prochaine des boutures de saule, nous essaierons préalablement de créer des racines...

16:00 sur Atom !...

09:16 sur Atom !...

En effectuant mes recherches à propos des boutures de végétaux, je suis tombé sur un article disant que l'on pouvait produire sa propre hormone de croissance, à base de branchage de saule.

Nous en avons déjà parlé mais cela remonte à un certain temps, et il se trouve qu'aujourd'hui, en cette mi-aôut, nous serions dans la bonne saison pour en fabriquer.

Aussi, nous nous rendons de ce pas dans le Secteur 3 du Jardin de Mary, auprès justement, de notre Saule.

Nous coupons quelques branchages et commençons à un faire des minies buchettes, en écartant les feuilles et les bourgeons de ce "hâchis parmentier" en bois !...

L'opération durera près d'une petite heure, puisque nous avons commencé pour les 08:11, effectivement !...

Une fois les bois coupés, nous les versons dans un petit bocal en verre.

Il ne nous reste plus qu'à verser de l'eau, alors là, c'est au "pif" : c'est un peu comme les pâtes dans une casserole : couvre d'eau tout simplement.

En suite, laisser réposer durant 4 à 6 semaines pour atteindre le stade de gel en surface : notre future hormone de croissance.

Bien : pour ce qui nous concerne, je préfèrerais attendre 4 semaines : parce que dans 4 semaines, viendra le temps de bouturer nos spécimens de Mirabellier et d'Amandier.

A revoir donc !...

09:23 sur Atom !...